Pour accompagner la grève des femmes du 8 mars prochain, nous proposons un épisode consacré à la résistance transféministe italienne face au pouvoir post-fasciste de Giorgia Meloni dont l’une des raisons d’être est le maintien de l’ordre traditionnel dieu-famille-patrie. Face à ce sinistre triptyque, les organisations transféministes incarnent selon les mots de la militante Serena Fredda un « espace indispensable de participation politique de masse à travers lequel peut s’exprimer une critique radicale de l’existant ».